Après la riziculture nous voici en France, en Auvergne pour découvrir le Saint Nectaire:
Pour retrouver ce que nous avons vu sur Saint Nectaire en classe et revoir la fabrication des fromages voici quelques documents :
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Apparemment rien à voir avec le Nil et l'Egypte...
Et pourtant c'est à Chicago, aux Etats-Unis que vous pourrez réaliser une momie!
L'université de cette ville a conçu un site pour apprendre à embaumer:
voici le lien :link Bon amusement!
BONNE RENTREE A VOUS TOUS!
pour commencer l'année du bon pied, voici quelques révisions utiles:
Un petit exercice pour réviser les continents et les océans: regarde les images et note tes réponses dans l'ordre; puis tu peux si tu veux poster ta réponse dans un commentaire.
1)
nomme
ce continent
2) donne le nom de celui-ci
POUR CONTINUER CLIQUE ICI SUR CE LIEN: exercice 6° géographie
Pour retrouver ce que nous avons vu sur Saint Nectaire en classe et revoir la fabrication des fromages voici quelques documents :
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Hérodote (un grand auteur de l'Antiquité, le créateur de la géographie ) se plaisait à dire qu’en Égypte tout se faisait au rebours du reste de l’univers.
Il écrivit ainsi : « Les Égyptiens qui vivent sous un climat unique, qui possèdent un fleuve unique en son genre, ont adopté en toutes choses ou presque des coutumes et des
principes inverses de ceux des autres hommes. »
L’immense mérite de Champollion (1790-1832) est d’avoir démontré que le principe phonétique constituait l’âme du système d’écriture tout entier.
Il s’appuie, pour sa découverte, sur l’examen comparé de noms propres. Champollion réalise une première identification du nom de Ptolémée sur la pierre de Rosette puis, sur l’obélisque de
Philae, qui servit de base solide pour la suite du déchiffrement. L’égyptologie était née.
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Champollion, un génie singulier (1790-1832).
Il étudie, outre le latin et le grec, l’hébreu, l’arabe, le syriaque, le chaldéen, le persan, le copte, le sanscrit et le chinois. À 16 ans, il démontre devant l’Académie de Grenoble que la langue copte dérive de la langue parlée de l’ancienne Égypte, que l’écriture copte est une adaptation de l'ancienne langue aux caractères grecs. Le jeune Champollion poursuit l’étude des langues orientales durant deux ans à Paris et revient à Grenoble passer un doctorat ès lettres. Il est nommé professeur d’histoire ancienne. Il a 19 ans. Il occupe son poste jusqu’en 1820, sauf pendant les deux années où il doit s’exiler à Figeac (1816 à 1818) en raison de son soutien à Napoléon. En 1820, il rejoint son frère à Paris; Champollion-Figeac est devenu le secrétaire particulier de Dacier, secrétaire perpétuel de l’Académie des inscriptions et belles-lettres. Jean-François Champollion s’est attelé depuis plusieurs années déjà au déchiffrement des hiéroglyphes, sans obtenir de résultats plus satisfaisants que ses collègues étrangers. Tous travaillent sur la pierre de Rosette, depuis la diffusion de copies d’estampage de ses inscriptions, en recherchant dans le hiéroglyphique et le démotique (le texte central) des équivalences du texte grec. Comme eux, Champollion a identifié, à partir du grec Ptolemaios, la forme hiéroglyphique en sept symboles du nom du pharaon Ptolémée entouré d’un cartouche (encerclé). L’importante répétition des signes lui indique qu’il pourrait s’agir d’une notation phonétique. Puis en comparant, sur l’obélisque de Philae, les cartouches de Ptolémée et de Cléopâtre dont les noms se trouvaient écrits également en grec, il comprend, déchiffre la valeur phonétique de leurs quatre signes communs (P, T, O, L) et parvient à attribuer aux autres une valeur alphabétique.
Mais c’est l’idée de compter le nombre de mots du texte grec (486) et celui des hiéroglyphes (1 419) qui lui donne l’avantage sur ses collègues. Il en déduit que l’écriture doit être à la fois phonétique et idéographique. En comparant les hiéroglyphes des cartouches de Ptolémée et de Cléopâtre, il dresse un alphabet hiéroglyphique, qu’il croit applicable seulement aux noms des souverains étrangers de l’époque hellénistique : il reste en effet persuadé que l’écriture est essentiellement figurative. Mais, en déchiffrant, à l’aide de son alphabet et grâce à sa parfaite connaissance du copte, les noms de Ramsès et de Thoutmosis sur des copies d’inscriptions venant du temple d’Abou Simbel, il comprend réellement le principe du système de l’écriture des pharaons. Il peut alors annoncer sa découverte à l’Académie des inscriptions et belles-lettres : c’est la fameuse Lettre à M. Dacier, relative à l’alphabet des hiéroglyphes phonétiques employés par les Égyptiens... (septembre 1822).
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